mercredi 19 janvier 2011

Des airs familiers

Mon coeur est léger
Ma tête fredonne des airs familiers
Mon esprit vagabonde.

Et le vent murmure entre les peupliers
Le secret des mots offert à la vie
Ne jamais vieillir, ne jamais mourir
Même si fallait y laisser sa peau

J'ai tant de rêves emprunt de jeunesse
Tant d'années qui s'étirent devant moi
Tous ces rêves...

Le vent les a bercés
Le long des golfes clairs
Et d'une chanson d'amour
La mer
A bercé mon coeur pour la vie

En attendant
Je goûte au bonheur
J'suis pas pressé.

Mais je caresse ce doux projet, commun.

Tu sais celui qu'on a souvent
Touché du bout de nos doigts
Celui qui a grandit
Entre toi et moi.

J'y crois
Je crois en nous
Je m'accroche aux promesses
De l'amour
Comme tant d'autres.

On dort les uns contre les autres
On vit les uns avec les autres
On se caresse, on se cajole
On se comprend, on se console.

Et je chantonne paisiblement.

C'est une chanson de lumière
L'étape après la misère
L'émotion d'un courant d'air.

1 commentaire:

Caroline a dit…

C'est beau ça, dans mon petit matin.